Découverte de l'île d'Yeu

Ambiances plurielles

Parmi les îles du Ponant, l’île d’Yeu est la plus éloignée du continent. Sa situation géographique en fait bien sûr une île vendéenne : c’est là qu’elle prend la douceur de son climat et ses plages de sable blond bordées de pins. Mais ses lumières, sa côte rocheuse, ses légendes, ses mégalithes, lui donnent aussi un accent breton.

D’autant plus troublant que ses criques et ses eaux turquoise, ses ruelles tortueuses et fleuries et ses maisons blanches aux volets multicolores évoquent irrésistiblement la chaleur méditerranéenne.

Le royaume du vélo

C’est à vélo que l’on découvre le mieux tous les secrets de l’île d’Yeu. Sur les chemins et les petites routes, à travers la lande ponctuée de murets de pierre, on savoure le charme de la côte sauvage. De la pointe du But au nord à la pointe des Corbeaux au sud, les superbes anses et les criques plus discrètes se succèdent comme autant de haltes bienvenues…

Tout comme le Vieux Château, vigie solitaire du XIVe siècle, et le petit port de la Meule dominé par sa chapelle immaculée. Sur la côte plate, on arpente les dunes et les pinèdes le long des plages des Conches des Sapins ou de Ker Châlon… Mais on prend aussi grand plaisir à circuler dans les ruelles de Port-Joinville et de Saint-Sauveur, tout comme dans celles des petits villages de l'île.